Catégories : Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme
il y a 9 ans
Quatre heure du matin... C'est pas possible... j'ai encore oublié de regarder l'heure.
J'aurais pas du accepter de les suivre en boite, comme à chaque fois, je ne vois pas le temps passer...
Bon j’espère qu'il est couché, sinon çà risque de barder, il va encore me saouler, me faire la morale, et tirer la gueule toute la journée de demain... sans compter que j'aurais le droit au réveil à 8 heures s'il calcule que je suis rentrée aussi tard. C'est chiant de ne pas avoir son propre appart.
Ça y est, la maison, enfin, je commençais à avoir mal au pieds. Au moins, ça m'aura aider à décuver un peu de marcher autant.
Approchant la maison à pas de loup, me voilà en train de farfouiller dans mon sac pour trouver ma clef. Quel bazars, il serais temps que je pense à faire le trie la dedans un jour. A, les voilà enfin, et merde ! Les voilà qui glissent de ma main ! Décidément, pourquoi faut il qu'a chaque fois que j'essaye d'être silencieuse, je sois aussi maladroite.
Me voilà obligé de les ramasser, pour tenter avec difficulté de les faire pénétrer dans la serrure de la porte. Un léger tour de poignet, et hop voilà porte ouverte. J’enlève discrètement mes chaussure, les pose dans l'entrée et je me glisse entre la porte entrouverte et le mur. Je pose mes chaussures et prends soin de refermer la porte dans une délicatesse que je ne m'imaginais pas avoir avec de l'alcool dans le sang. Toujours avec mes chaussures et mes clefs dans la main, je verrouille la porte en toute discrétion.
Ouf, toujours la main sur la poignet de la porte et mes chaussures a la main, je prends le temps de respirer un coup. Le premier obstacle viens d'être franchit... Une bonne chose de faite, mais il ne faut pas que je relâche mon attention. Il va falloir que j'avance dans le noir, la lumière serais trop suspecte tant que je ne suis pas en pyjama.
Sur la pointe des pieds, j'entame la traversée du couloir pour me diriger vers le salon, tout est calme, le silence règne, c'est plutôt bon signe. J'arrive dans le salon dont je perçois très mal le mobilier tellement celui ci est plongé dans la pénombre. J'y jette un coup d’œil rapide, et commence à accélérer le pas pour rejoindre la porte de la sale de bain ou j'ai planqué mon pyjama.
Un pas, puis un autre, et au troisième, la sensation de marcher sur quelque chose de mou me stoppe dans mon élan.
A l'instant ou je l’accroupi pour tenter de savoir ce sur quoi j'ai bien pu posé le pied, je me retrouve aveuglé par la lumière du salon qui viens de s'allumer.
« Tu me prends vraiment pour un idiot ?! »
Et merde, il m'a attendu... et c'est partit pour la leçon de morale...
Je me relève pour lui faire face, et le fixe dans les yeux. Le voilà en face de moi, l'air calme, toujours en jean et en chemise malgré l'heure si tardive. Je préfère ne rien dire, sa phrase n'était pas sur un ton très amical, dans ces cas la, il vaux mieux que je me taise, sinon ça va durer des heures...
Quelques secondes passent, et pourtant, toujours pas un mot de sa part, ses yeux marrons sont rivés sur moi, il me fixe droit dans les yeux et ne cille pas. Ce duel de regard semble s'éterniser, et cela commence à devenir gênant d'être dévisager ainsi...
A l'instant ou je détourne le regard pour entamer le trajet vers la porte du couloir, il se décide a bouger. Le voilà qui avance a grand pas vers moi, d'un air tellement déterminée que je me surprends a faire un pas de recul.
A cet instant, il me saisit par le poignet et me tire contre lui. Il me serre fort dans ses bras, et me souffle a l'oreille :
« tu n'imagine pas a quel point je me suis inquiété... »
Il relâche son étreinte, et recule à son tour, tout en maintenant toujours mon poignet. Je relève la tête et m’apprête à lui répondre, mais a cet instant, il me tire d'un coup sec, m’entraînant vers le canapé.
Surprise par un telle accélération de sa part, je n'ose bredouiller un quelconque mot.
Il s'assied sur le divan, et m'attire par le poignet suffisamment fort pour me faire basculer en travers de ses genoux. Me voilà le visage dans les coussin, dans une position fort dérangeante.
Avant même que je puisse réagir, il pose l'une de ses mains au creux de mes reins, et l'autre sur mes fesses.
« Qu'est ce que tu fais ? »
« je vais te montrer ce qu'il en coûte de me faire m’inquiéter ainsi. »
Sa phrase a peine terminée, la première claque atterrie sur le fond de mon jean, me faisant lâcher un petit cris de surprise. Une première claque traduisant de sa détermination.
La deuxième résonna dans le salon, encore plus appuyée que la première, me faisant sortir des abîmes de l'alcool...
Était ce possible ? Était il en train de me fesser ? Je n'osais y croire !
La troisième claque, n’eus pour cible que ma fesse droite indépendamment de sa jumelle, augmentant l'impact de son effet et me faisant sursauter.
Je n'y crois pas ! Il est en train de me fesser comme un gamine !
Figée par la surprise de la situation, je fut incapable de bouger et de parler, j'étais allongée en travers de ces genoux, en train de recevoir... une fessée à 28 ans passés !
Alors que petit a petit je réalisais ce qu'il m'arrivait, les claques elles, continuaient à dégringoler.
Alternant de fesses en fesses, giflant mon derrière à travers le tissus de mon jean, chauffant un peu plus la peau de mes fesses à chaque impacts. Une sensation tellement étrange, me perturbant progressivement...
Une légère douleur, qui s'amplifiait a chaque impact, et pourtant une légère sensation de picotement dans le bas ventre prenait elle aussi petit à petit de l'ampleur. Difficile de comprendre mes sentiments ! Je ne l'aurais jamais imaginé capable de cela ! Comment devais je réagir ?! Comment osait il me faire cela ?! Je ne suis plus une gamine bon sang !
Je devais être rouge comme une pivoine ! Les claques déferlaient sur mes fesses, dans un rythme assourdissant, résonnant certainement dans toute la maison désormais. Comment aurais je pu imaginer cela avant d'ouvrir la porte ? Ou lorsque j'étais en boite a faire la fête avec mes amis ? Et qu'en penseraient ils eux même s'ils savaient ? Ho bon sang ! Quelle honte !
Bataillant intérieurement avec mes pensées, je ne me rendis pas compte que sa main avait stoppé sa cadence. Je n’eus a peine le temps de réaliser que celle ci venais d'attraper l’arrière de la taille de mon jean. Allongé comme je l'étais, celui ci baillait déjà bien assez pour laisser entrevoir le début de ma culotte. Il tira sur mon jean une première fois, me laissant bouche bée, mais celui ci lui opposa résistance en refusant de passer la barrière de mes hanches. Mais il ne s’arrêta pas la, il me souleva de son autre main, afin de pouvoir atteindre le bouton de mon jean et en l'espace d'un instant, il délivra celui ci de son honorable tâche.
Il me plaqua à nouveau contre ses genoux, et saisi une nouvelle fois la taille de mon jean. Je n’eus a peine le temps d'ouvrir la bouche pour lâcher un timide « non », que je senti mon jean faillir à son rôle de couvrir mon derrière. Celui ci glissa le long de mes hanches, pour s’arrêter a la limite inférieur de mes fesses, livrant à ses yeux et a sa merci, mon petit cul encore recouvert par ma fine culotte.
Décidément, si je m'étais attendu à cela...
La fessée reprit, et les claques, n'ayant désormais plus mon jean pour obstacle, me firent un redoutable effet ! Mes jambes réagir immédiatement au premier impact, celles ci quittèrent le contact du sol, et étirèrent de tout leur longs. Le son, bien diffèrent, me fit comprendre que la suite n'allait pas être de la rigolade.
Toujours alternant de fesses en fesses, les claques défilaient, m'arrachant grimace et gémissements.
Mes fesses devaient clairement rattrapé le rouge de mon visage. Le picotement que celles ci me faisaient jusqu'à la ressentir, se transformait petit a petit en une sensation de brûlure. Une brûlure qui irradiait progressivement vers mon entrejambe.
Je grimaçais, je gesticulais, mais pourtant je ne me débattais pas. Peut être au fond de moi, je me disais que je la méritais, cette fessée...
Mes jambes commençaient sérieusement à battre comme si j'essayais de m'enfuir en courant, rajoutant un certain ridicule à la situation. Elles remuait tellement qu'elle entraînèrent mon jean dans une progressive chute vers mes chevilles, si bien que celui ci eu fini par entraver mes chevilles.
Entre mes gémissements, je tentais de maîtriser ma respiration, diminuant ainsi l'effet de la farandoles de cette main sur mes fesses, tout en essayant de me concentrer sur cette agréable sensation au creux de mon bas ventre.
D'un coup, la fessée cessa. Toujours plaquée par une main sur le creux de mes reins, je restais immobile, cherchant à calmer mon souffle. Mes fesses me paraissaient brûlantes, je sentais sa main caresser avec douceur mes petites pommes qui devaient avoir la couleur de beaux fruit bien mûrs.
Quelle sensation agréable. Qui aurait pensé que je pourrais ressentir un tel soulagement en étant dans cette position ? Allongé ainsi, le pantalon au chevilles, et les fesses rougies...
Me laissant me perdre dans mes sensations, je fus reconnecter a la réalité par une sensation de glissement dans le bas de mon dos. Ses doigts venaient de se faufiler sous l'élastique de ma culotte !
C'est était trop ! Il fallait que je réagisse, ni une ni deux, je précipitais ma main droite pour agripper le haut de ma culotte, je n'allais quand même pas le laisser m’infliger la honte de me déculotter à 28 ans quand même.
« Arrête ! Ça suffit ! J'ai compris ! J'ai compris ! »
Il m'attrapa par les cheveux, rapprocha son visage de mon oreille et me susurra d'un ton ferme.
« Tu aurais du le comprendre avant que j'en arrive la, tu passes ton temps a me provoquer comme une gamine, tu vas être traiter comme tel. »
Il saisit une nouvelle fois mon poignet, et me força à lâcher ma culotte. Il n’eut guère de difficulté a plaquer ma main dans le bas de mon dos, verrouillant ainsi son emprise sur moi.
De sa main libre, il s'attaqua a nouveau à l’élastique de ma petite culotte. Je sentis celle ci s'éloigner petit à petit de ma peau, glissant le long de mes hanche et découvrant progressivement mes fesses.
Le frottement de celle ci au niveau du haut de mes cuisse, mélangé a cette sensation d'air caressant mes fesses me fis réalisée, que je venais d'être déculottée !
Cul nu... voilà les mots qui a cette instant précis résonnaient dans ma tête. Mes pieds ne touchaient plus le sol, j'étais bloquée, allongé dans une posture humiliante, et surtout, je me retrouvais les fesses à l'air. Un spectacle au combien déroutant pour n'importe qui ayant passé la porte à cette instant.
Prise de panique par la situation, je me mis a protester. Lui sommant d’arrêter ça tout de suite, que le jeu avait assez duré et qu'il allait trop loin !
Mais pour toute réponse, ce fut une cinglante claque qui me fit stopper mes clameurs. Et quelle claque ! Si mes fesses n'avaient pas été déjà rouges, j'aurais parié que la trace d'une paumes accompagné par 5 phalanges y apparaissait.
La volée repris de plus belle, et ma danse des jambes l'accompagna au rythme des percussions .
Il ne fallut que peu de temps pour que j'oublie la honte qui m'envahissait quelques seconde avant. Le bruits de claques, accompagné de mes gémissements me paru distant. Mes fesses elles irradiaient dans tout mon être. Chaque impact résonnait en moi, déclenchant de plus en plus souvent, d'agréable contractions au sein de mon entrejambe.
Partagé entre douleur, plaisirs et intrigue, je me laissais aller, je me laissais aller au sensation que mon corps me procurais.
La fessée poursuivit, résignée a ressentir chaque sensation que je le pouvais, j'avais cesser de gesticuler. Cela faisait déjà un moment que mon pantalon été par terre, ayant été propulsé par mes mouvements de jambes, quand à ma culotte, celle ci avais finis enroulé autours d'une de mes chevilles.
Toujours partagé entre la douleur et le plaisir, je sentis petit à petit des larmes couler. Apparaissant au creux de mes yeux pour finir par perler le long de mon visage.
Au milieu de tout ce chaos, toutes ces sensations et toutes ses émotions, je me suis perdu, le temps de la fin de la correction...
La fessée pris fin, laissant la place à de douce caresses, au combien agréables et enchanteresse. Ma main prisonnière enfin libérée de son étreinte, je pu lentement reprendre mon souffle.
Allongé la, les fesses a l'air, je sentis une main glisser le long de mon dos, caresser ma nuque, mon cou et mon visage. Celle ci attrapa la pointe de mon menton, m’entraînant et m'obligeant à pivoter la tête. C'est alors que je croisais son regard, désormais si paisible, que ses lèvres embrassèrent les miennes. Cet instant si doux et agréable ne fut que le début, le vil profitant de ce moment, pour glisser si délicatement, ses doigts aventuriers au sein de mon intimité...
« ne m'inquiète plus jamais »"
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